"Établir une connexion avec Dieu", Il commet un viol d'une . . .

Une plainte pour des faits d’agression sexuelle a été déposée le 20 juillet 2018. Par une jeune fille de 17 ans au moment des faits, contre un homme de 68 ans. Elle avait attendu d’avoir 18 ans pour porter plainte. Le tribunal correctionnel de Saint-Denis a été chargé de statuer sur cette affaire.

En premier lieu , À 64 ans, Jean Max L. se définit comme étant un être hors du commun. Il a déclaré devant le tribunal. Pour avoir des conversations avec Dieu et être capable de savoir où se trouve de la drogue dans un aéroport. Puis, Il se tourne directement vers Dieu pour savoir si l’utilisation de ses pouvoirs de magnétiseur peut venir en aide à « les enfants de Dieu ».

En effet, le 11 avril 2018 à 21 heures, à Saint-Denis. Le sexagénaire a décidé, sur les conseils de la tante de la jeune fille âgée de 17 ans qui en a la charge et qui a des problèmes familiaux. D’apporter son aide et a commis l’irréparable. Après avoir répandu de la terre bénite sur les pieds de la jeune fille et tracé un signe de croix sur son front. Il lui a demandé de se coucher sur le lit.

Cependant, la confiance de la jeune fille le poussa à l’action. Soudain, l’homme l’embrassa et commença à enlever son t-shirt pour caresser sa poitrine. Heureusement, elle trouva la force d’exprimer un refus, et l’homme interrompit son geste et ne l’insista pas.

En somme, Choquée. Elle en parle à sa tante après le départ du prévenu, laquelle lui dira que c’est un secret entre elles et qu’il ne faut pas le dire. La victime, sous la responsabilité de sa tante. Elle ettend d’avoir 18 ans le 19 juillet 2018 et va déposer plainte le lendemain. Son petit ami l’encourage et la soutient pendant qu’elle mène le combat. Le dossier est alors englouti par la justice jusqu’à ce qu’elle envoie une lettre de rappel au parquet. La découverte du dossier a déclenché une enquête qui a trouvé son terme ce mardi 14 février, avec le prononcé de la sentence contre le mis en cause.

Je parle à Dieu pour soutenir ses enfants.

Quand le président l’interroge, l’homme, qui a tendance à s’emporter en parlant de ses dons et de ses compétences, a du mal à se concentrer sur les faits, même si le magistrat continue à lui rappeler. En communiquant avec Dieu pour aider ses enfants, je reçois des messages divins. En faisant un signe de croix sur le front, je sens qu’il ne s’agit pas d’une personne bienveillante. Dieu m’a dit qu’elle doit rester ici pour aller à l’école et ne pas l’aider à aller en France. Lorsqu’elle a passé sa main dans mon dos, je me suis senti très gêné, étant donné que j’avais 60 ans et qu’elle n’avait que 17 ans et demi, a déclaré le messager.

La victime, visiblement choquée, peine à parler, mais parvient à articuler : « Je n’ai pas entendu ce qu’il affirme, je n’ai pas mis la main sur lui, il a 66 ans ». J’ai appris qu’il avait fait la même chose à quelqu’un d’autre, un ami de ma tante, lors d’une séance. « Elle n’arrête pas de mentir », a répliqué l’accusé.

L’expertise psychologique a révélé une hésitation à se positionner vis-à-vis de la victime, associée à une sexualisation, ce qui indique qu’il est peu réceptif à un accompagnement. Au cours de son interrogatoire, le suspect a déclaré « C’est à eux de me vouloir ». De plus, le ministère public a souligné le manque de collaboration de la tante de la victime qui n’a jamais porté de témoignage.

« Elle relate les caresses sans les dramatiser ».

C’est odieux de vouloir tacher la réputation de la victime. Il sait qu’il y a un conflit familial et se sert de cette relation de confiance pour tirer profit de la situation. La partie civile affirme qu’il raconte n’importe quoi depuis le début et qu’il se sent tout-puissant. Elle dénonce son comportement envers les plus faibles. La procureure, quant à elle, relève que la victime décrit les attouchements sans les exagérer. La déclaration du plaignant est cohérente et l’audition du prévenu est en accord jusqu’à un certain point. Puis il y a le témoignage de M. Jean Max L. qui est très vague et qui semble aller dans tous les sens. Le Ministère public a plaidé pour une peine de 18 mois d’emprisonnement. Dont 8 mois avec sursis, ainsi qu’une ordonnance de soins et, le cas échéant. L’utilisation d’un bracelet électronique pour le maintenir sous contrôle.

Pour conclure, La culpabilité du prévenu étant confirmée par sa propre défense et par la sagesse divine. Il a été condamné à 2 ans de prison. Dont 16 mois avec sursis, et à une interdiction d’exercer des activités avec des mineurs pendant 10 ans. Une inscription au fichier des délinquants sexuels sera exigée. Et le juge d’application des peines devra statuer sur les 8 mois de peine ferme restants.

Établir une connexion avec Dieu", Il commet un viol d'une adolescente
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