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Marguerite Stern : «Les athlètes transgenres ne devraient pas participer aux compétitions sportives féminines» – La Réunion TV

Halba Diouf, un athlète transgenre, a battu son propre record de 200 m lors d’une compétition départementale le 7 mai. Pour la militante féministe Marguerite Stern, la participation des athlètes transgenres dans les compétitions féminines nuit grandement au sport féminin.

Marguerite Stern est une militante féministe qui a lancé une campagne d’affichage contre les féminicides. Ancienne membre des Femen, elle a créé avec Dora Moutot la plateforme en ligne «Femelliste». Le but de cette plateforme est de s’opposer aux lois qui effacent le sexe au profit de l’identité de genre.

De temps en temps, la communauté française de Twitter s’indigne en voyant que des hommes qui se disent «transgenres» remportent des compétitions sportives féminines à l’étranger. Nous regardons cela de loin en pensant que cela n’arrivera jamais chez nous, car c’est l’Amérique. Et bien, pour la première fois en France, c’est arrivé : un homme a remporté une compétition sportive féminine.

Halba Diouf, une personne noire, musulmane et transgenre selon France Culture, a remporté une course de 200 m féminine lors d’une compétition départementale le dimanche 7 mai avec un temps de 22”67. Je précise que la Fédération française d’athlétisme (FFA), malgré les règles émises par la Fédération internationale d’athlétisme, lui a interdit de participer aux compétitions nationales, mais l’a autorisé à concourir jusqu’au niveau départemental. Heureusement, ses performances ne sont pas prises en compte pour l’établissement de records. Néanmoins, cet homme a volé la place de femmes qui ont travaillé dur pour arriver là. Analyse d’un scandale qui ne dit pas son nom.

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Depuis trois ans, je m’oppose publiquement au transgenrisme, que je définis comme une idéologie qui veut nous faire croire que le sexe est un «construit social» – comme le définit le Planning familial dans son lexique trans – que changer de sexe est possible pour les mammifères que nous sommes, que la dichotomie femelle/mâle est une invention de l’esprit, en bref, que la sexuation est un mythe. «Et si les faits disent autre chose, les faits doivent être modifiés», disait Orwell dans 1984.

Je trouve cette idéologie fantaisiste et intellectuellement divertissante. Mais le problème, c’est que sa présence dans la réalité cause trop de dommages pour la laisser comme un simple jeu. Je constate tous les jours sa progression en France – y compris dans les institutions d’État (législature, services publics, etc.).

Aujourd’hui, nous abordons la question du sport, et plus spécifiquement de la performance incroyable d’Halba Diouf, qui a réussi l’exploit de se classer 58ème mondial alors qu’il stagnait à la 980ème place nationale. Vous savez, M. prend des hormones féminines. Il se considère comme une femme. Et si c’est le cas, alors c’est qu’il l’est.

Marguerite Stern

Connaissez-vous la loi de Brandolini ? Nous pouvons la résumer comme le principe selon lequel la quantité d’énergie nécessaire pour réfuter des absurdités est toujours supérieure à celle nécessaire pour les produire. Allons-y.

Jusqu’à présent, nous avons toujours appelé la femelle de l’espèce Homo Sapiens «femme» et le mâle Homo Sapiens «homme» ; de la même manière que nous appelons, par exemple, les femelles de l’espèce Felis catus «chattes» et les mâles «chats», etc. Il n’y a aucune raison pour que cela change. «Appeler les choses par leur nom, c’est ajouter au bonheur du monde», disait Albert Camus.

La sexuation d’un être humain se manifeste dans toutes les cellules de son corps – à l’exception des cellules sanguines. Il ne suffit pas de s’injecter des hormones opposées ou de subir une ablation des parties génitales avec reconstruction d’un simulacre du sexe opposé (ce que les transgenres appellent «changement de sexe») pour «changer de sexe». «Changer de sexe» est impossible ; c’est une expression abusive.

Une fois ces faits énoncés, nous pouvons en déduire que si l’on naît homme, on reste un homme, et si l’on naît femme, on reste une femme.

Les différences physiologiques entre les hommes et les femmes ont un impact sur leurs performances sportives. Par exemple, les hommes ont tendance à avoir une proportion d’hémoglobine plus élevée, ce qui leur permet de transporter plus d’oxygène. De même, ils ont généralement une plus grande ossature et une masse musculaire plus importante. Ces différences expliquent en partie pourquoi les records du monde masculins sont souvent plus rapides que les records féminins.

Cependant, cela ne signifie pas que les performances des femmes ne sont pas impressionnantes. Dans des sports comme la natation synchronisée ou la gymnastique, les femmes peuvent même surpasser les hommes. Malgré cela, les femmes ont dû lutter pour obtenir leur propre compétition sportive, et il est important de préserver cette avancée.

Il n’y a aucune raison logique pour qu’un homme participe à une compétition sportive féminine. Les femmes ont leur propre compétition pour une raison, et il est essentiel de respecter cela. Les hommes qui souhaitent participer à des compétitions sportives peuvent le faire dans leur propre catégorie.

Il est important de noter que chaque individu est différent et que les performances sportives dépendent de nombreux facteurs. Les différences physiologiques entre les hommes et les femmes ne sont qu’un aspect de la question. Les femmes ont prouvé leur capacité à exceller dans le sport et elles méritent d’avoir une compétition qui leur est réservée.

En fin de compte, le sport est une question de compétition loyale et équitable. Les femmes ont droit à leur propre compétition, tout comme les hommes. Nous devons respecter cette avancée et permettre aux femmes de continuer à exceller dans le sport.

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