Alerte à La Réunion : des mesures urgentes
Une étude vient éclairer la question des violences faites aux mineurs dans les DOM et nous donne des pistes pour agir. Une étude menée en 2018 dans les DOM, intitulée « Violences et rapports de genre » (Virage), a révélé qu’un grand nombre de jeunes avaient déclaré avoir été victimes de violence dans leur famille ou leur entourage avant l‘âge de 18 ans.
En Outre-mer, les chiffres alarmants des actes de violence sont inquiétants. Les sommes sont assez hautes, 257 euros par personne en Corse, mais seulement 16 euros pour les Réunionnais et les autres DOM.
D’après une étude, un quart des femmes et un cinquième des hommes ont rapporté avoir été victimes de violence familiale ou de leur entourage avant l’âge de 18 ans. Les chiffres sont de 26% pour les Réunionnais et Martiniqais, 27,5% pour les Guadeloupéens, et 17,5% pour les gens vivant dans l’Hexagone.
L’importance de la coordination et des ressources humaines et financières pour la lutte contre les violences est mise en avant dans le rapport. Une meilleure prise en charge des victimes, à la fois sur le plan judiciaire et médical, est également recommandée.
Finalement, les rapporteurs estiment que la reconduction d’une enquête Virage aux Antilles et à La Réunion, sans oublier la Guyane et Mayotte, s’impose pour pouvoir disposer des données les plus récentes et ainsi pouvoir développer des politiques publiques efficaces.
Des solutions pour lutter contre la violence domestique sont nécessaires, comme par exemple des campagnes de sensibilisation, une amélioration des structures d’accueil pour les victimes et un renforcement de la formation des professionnels.
Les données sont super importantes si on veut avoir une idée des trucs qui se passent en ce moment et trouver des solutions pour lutter contre la violence faite aux mineurs. Les rapporteurs ont invité les autorités à se bouger pour résoudre ces problèmes, en lançant des campagnes de sensibilisation, par exemple. Il faut renforcer les structures d’accueil pour les victimes, et améliorer la formation des professionnels qui s’occupent de ces personnes. On peut ainsi leur offrir une meilleure assistance.
D’après le rapport, il manque cruellement des ressources humaines et financières pour lutter efficacement contre les violences faites aux mineurs. C’est pourquoi il est super important de consolider les systèmes existants pour protéger les jeunes et leur offrir aux professionnels les moyens d’agir efficacement pour prévenir ces violences.
Il faut que les autorités prennent les violences envers les mineurs dans les territoires d’Outre-mer au sérieux et fassent en sorte de mettre en place des mesures pour protéger ceux qui sont les plus à risque. C’est indispensable !
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