La criminalité : en mars 2022, Jérémy Tsirohoty et ses associés, les frères Renard. Ils ont été sévèrement punis pour avoir cambriolé la boutique Papi à St-Benoit. Quelques semaines seulement après avoir séquestré et ligoté la gérante et sa fille dans leur sommeil. Ces malfrats ont décidé de s’en prendre à une supérette de Ste-Suzanne.
Le 20 avril 2019, les frères Renard, Giovanni et Jérémy accompagnés de Jérémy Tsirohoty, leur cerveau, se sont lancés dans un de leur cambriolage habituel en visant une supérette de Ste-Suzanne. Donc, Cette nuit-là, ils portaient des masques et ont forcé un volet et découpé un grillage. Puis, Ils ont récupéré des paquets de cigarettes, des bouteilles de whisky et des produits surgelés. Selon le parquet général, c’était leur moyen de subsistance. Alors, Trois personnes ont comparu devant la cour d’appel. Car, Elles sont accusées d’avoir commis un vol en groupe avec de multiples circonstances aggravantes. C’est là que leurs destins vont être scellés.
Tandis que, Les trentenaires sont connus pour leur look et leur style similaire, avec des membres musclés et des tatouages. Puis, Ils ont l’air de se connaître depuis des années et ont un style très reconnaissable. Les trois hommes ont trouvé la sentence qui leur a été infligée dure. Etant donné les faits dont ils étaient accusés – 18 mois ferme pour les frères et 2 ans ferme pour Tsirohoty. Mais ce qu’ils veulent vraiment, c’est que la cour dise que cette condamnation va avec celles qu’ils ont déjà eues.
En mars 2022
Ils ont tous été condamnés par la cour d’assises. 15, 14 et 10 ans de réclusion criminelle pour chacun d’entre eux. Tout cela à cause du braquage de la boutique Papi à St-Benoit qui s’était produit en janvier 2019. La surprise était au rendez-vous quand les policiers ont découvert deux femmes battues et ligotées, séquestrées pendant que 70.000 euros leur étaient volés. Comparé à ça, l’affaire de Ste-Suzanne ne paye pas de mine, le préjudice étant seulement estimé à 6.000 euros.
Au cours du premier procès, le tribunal a rejeté la demande de fusion des peines, les peines s’accumulant. « Ils étaient déjà des délinquants et maintenant ils sont devenus des criminels », a déclaré le représentant de la société. Jean-Philippe Rey a clairement demandé à la Cour de maintenir les sentences du premier juge et de rejeter la requête des trois.
L’avocat général a souligné que leurs casiers judiciaires sont très fournis. Sept infractions au compteur pour Jérémy Renard, des vols, des stupes, une association de malfaiteurs, onze pour son frère et vingt et une pour Jérémy Tsirohoty. En plus, les comportements des accusés ne sont pas exemplaires en prison. Même s’ils tentent de suivre les cours de remise à niveau, il y a eu beaucoup de problèmes, comme le retrait de remise de peine de deux fois trois mois qui a été infligé à l’un des frères Renard.
Le parquet général a déclaré que la société n’approuverait pas ce genre de comportement
Donc, Leur avocat, Me Morgan Pouly, a essayé de comparer les peines imposées en première instance à celles obtenues par d’autres. Cette semaine, des personnes accusées d’actes plus graves ont été jugées en comparution immédiate.
La cour a entendu les arguments et on saura si elle a été impressionnée par ces comparaisons le 23 mars.
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