Il est « inscrit sous plusieurs identités dans un fichier automatisé d’empreintes digitales fourni par les dépositions de procès antérieurs contre lesquels il a fait l’objet »
Un homme aurait hébergé le suspect est en garde à vue depuis mercredi soir, période pendant laquelle l’agresseur a été libéré et autorisé à de nouvelles procédures médicales, a indiqué jeudi le parquet de Paris. Un autre homme, qui aurait pu interagir avec les assaillants peu avant l’attaque, a également été placé en garde à vue jeudi matin mais a été relâché sans inculpation à ce moment-là plus tard dans la journée, selon des sources. Six au total ont été blessés : deux hommes âgés de 42 et 36 ans, un policier PAF de 46 ans à la gare du Nord et trois femmes âgées de 40, 47 et 53 ans. L’identité de l’agresseur est toujours en cours de confirmation, selon le parquet ce jeudi. En effet, il est « enregistré sous de multiples identités dans un fichier automatisé d’empreintes digitales fourni par ses déclarations précédents procès contre lesquels il a fait l’objet », a déclaré mercredi madame Beccuau, ajoutant qu’il était « algérien ou né en Libye » peut-être. Pour sa part, les autorités policières ont dit qu’il était un Libyen né en 2000, et qu’il était obligé de quitter le territoire français(OQTF),qui est impossible à cause de l’instabilité Libyenne.
