Un élève, mis à l’écart de son établissement scolaire pour avoir été accusé d’avoir pratiqué la masturbation devant son professeur, requiert sa réadmission auprès du juge des référés.
Une professeure de Lannion (Côtes-d’Armor) accuse un lycéen d’avoir tenté de la toucher et de se masturber en sa présence. Cependant, le jeune et sa famille nient ces allégations. D’après France 3, il a demandé au juge des référés du tribunal administratif de Rennes de surseoir à l’expulsion définitive dont il a fait l’objet le 26 janvier 2023. (une érection involontaire)
Les parents de ce jeune « sorti de l’école depuis le 18 janvier 2023 » souhaitent qu’il soit « réintégré » dans les « cinq jours » qui suivent.
Une érection involontaire
Il a affirmé que l’élève avait expérimenté une « érection incontrôlée » lorsqu’il était seul avec la professeure d’espagnol. Cependant, cette dernière l’accuse d’avoir « effleuré ses fesses » et de s’être « masturbé » devant elle.
Lors de l’audience publique, on a signalé que l’enseignante a déposé une plainte.
La conseillère juridique du lycéen en formation professionnelle a déclaré qu’il s’agissait d’une « situation embarrassante et déplaisante » que le jeune homme avait « essayé de dissimuler ». La conseillère juridique du lycéen en formation professionnelle a déclaré qu’il s’agissait d’une « situation embarrassante et déplaisante » que le jeune homme avait « essayé de dissimuler ».
Des faits extrêmement graves
La déléguée du recteur a souligné que la professeure était « contractuelle », qui avait « commencé à travailler en 2016 ». Et qui n’avait « jamais varié sa version des faits » concernant ce dossier. Elle était absente lors du conseil de discipline, et elle l’est toujours. On considère ces faits comme très graves et comme de l’exhibitionnisme. Une décision devrait être prise la semaine prochaine.
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