Dans la petite communauté de Saint-André, un petit village du nord de la France, il y a eu une horreur que personne n’oubliera jamais. Des enfants sans défense ont subi des actes de violence de la part d’un homme qui a profané leur âme et leur a brisé leur jeunesse. Ce qui est arrivé à Saint-André est un crime odieux et insupportable qui a secoué toute la communauté. Les gens sont abasourdis et énervés, ne comprenant pas comment quelqu’un peut faire une telle chose. Les enfants sont les plus vulnérables de la société et ils ne devraient pas
Tout d’abord, Mercredi 10 mai, Hugues* s’est pointé devant le tribunal de Champ Fleuri pour y répondre des accusations d’agression sexuelle sur un mineur de moins de 15 ans. Alors, le samedi 11 mars 2023, dans une auberge à Saint-André, deux petites filles de 8 et 9 ans passaient du temps avec leurs parents pour profiter d’un séjour reposant et agréable. Hugues, un homme d’une cinquantaine d’années, se trouvait là car son appartement avait brûlé à cause d’un gros incendie. Il s’était donc retrouvé à l’auberge, où on l’avait chaleureusement accueilli.
Les parents des deux fillettes n’avaient pas eu de soucis à voir leur progéniture sympathiser avec l’accusé, qui ne semblait pas méchant. Un des parents, inquiet de ne pas entendre de bruit, décide de vérifier ce qui se passe et découvre les deux mineures dans la chambre de Hugues, allongé sur son lit.
Les petites filles racontent aussitôt ce qu’il s’est passé. L’homme de 50 ans, habitué à consommer des drogues diverses (artane, cannabis, chimique, cocaïne…), était sous leur influence ce jour-là. Il aurait attiré les filles en leur offrant deux francs, essayé de les embrasser sur la bouche. Et baissé la jupe de l’une d’elles pour toucher « au-dessus de la culotte ». Il aurait aussi voulu leur faire « visiter » la cave de l’auberge.
Devant le tribunal, l’homme qui avait déjà travaillé avec des enfants avoue les faits en disant : « Je ne me souviens pas très bien de tout ça, mais je pense qu’elles ne mentent pas. J’aime beaucoup les enfants, j’ai déjà travaillé avec eux et dans mes souvenirs. Je voulais juste leur faire un bisou sur la joue. »
« Pouvez-vous nous parler de votre vie sentimentale ? Avez-vous une femme, des enfants ? Avez-vous déjà eu une petite amie ? » interroge le juge.
« Non, je suis seul et sans enfants. J’ai eu quelques histoires d’amour, mais c’était il y a très très longtemps. » dit-il.
Malgré un casier judiciaire vierge, l’accusé est condamné à 24 mois de prison dont 18 avec sursis. Et son nom est inscrit au FIJAIS (fichier des auteurs d’infractions sexuelles). Il doit également suivre des soins.
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